Un URL (Uniform Resource Locator) est l’adresse d’une page Web. Il se compose d’un certain nombre de parties. Décomposons cette URL : https://www.python.org/doc/.
http:// – La plupart des URLs commencent par ceci, le protocole de transfert hypertexte. Certains peuvent commencer par ‘https‘, qui signifie ‘Hypertext Transfer Protocol Secure‘.
www.python.org – C’est le nom de domaine, le nom unique qui identifie un site web. Les terminaisons de domaine communes sont .com,.fr, .net, .org, etc…
/doc – C’est le nom du répertoire. Le reste de l’adresse vous indique où les pages sont stockées sur le serveur Web. Ce chemin vous amène à la page d’accueil de documentation sur le site Web du langage Python.
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Les multinationales informatiques, les compagnies d’assurance et les institutions publiques déploient d’immenses efforts pour analyser nos profils individuels et prédire nos décisions. Grâce aux données que nous générons nous-mêmes, elles ont aussi entrepris de nous “optimiser” et d’influencer nos comportements.
L’un des rêves vendus par l’intelligence artificielle est qu’elle nous libérerait à terme de la damnation du travail. Mais entre les désirs à assouvir des consommateurs et les propositions des marques commerciales, il y a des « usines à clic » qui n’ont rien à voir avec les algorithmes intelligents, et qui sont localisées dans les pays émergents où la main d’œuvre coûte beaucoup moins cher qu’une équipe d’informaticiens spécialisés dans le développement de solutions automatiques.
Antonio A. Casilli a mis au jour cette exploitation du travail dans un livre publié au Seuil sous le titre En attendant les robots Enquête sur le travail du clic. Des employés sous-payés collectent un maximum d’informations pour faire le travail du robot : textes, photos, vidéos, transactions financières et fréquentation de sites d’information ou autres… de quoi alimenter en données les algorithmes. C’est ainsi que, pour quelques centimes par clic, « les humains volent le job des robots ». C’est ce que le sociologue appelle la tâcheronnisation, une forme nouvelle de division du travail : le taylorisme numérique. Il ne signifie pas la disparition du travail mais celle des métiers, comme le souligne Dominique Méda dans la postface du livre, et surtout une forme d’occultation. C’est le cas également du modèle techno-économique des plateformes numériques, Uber et autres. « Plateformisation et tâcheronnisation se conjuguent pour précariser et vider de son sens le travail. »
La rétine de l’œil comporte des récepteurs de couleurs (les cônes) uniquement sensibles aux trois couleurs rouge, vert et bleu. C’est à partir de ces trois couleurs dites primaires que le cerveau interprète toutes les gammes de couleurs.
Cette animation illustre la synthèse additive des couleurs. Les disques de couleur représentés peuvent être assimilés à des projecteurs déplaçables. Le mélange en proportions égales de ces trois couleurs primaires donne:
le jaune (addition du rouge et du vert),
le cyan (addition du vert et du bleu),
le magenta (addition du bleu et du rouge)
le blanc (addition des trois couleurs primaires).
Le jaune, le cyan et le magenta sont les couleurs secondaires de la synthèse additive. L’absence de couleur donne du noir.
Cliquer puis faire glisser les disques colorés.
Extrait du programme de SNT
Cet article peut être un élement de cours sur la photographie numérique du programme d’enseignement commun en seconde de SNT – Sciences numériques et technologie
Contenus
Capacités attendues
Photosites, pixels, résolution (du capteur, de l’image), profondeur de couleur
Distinguer les photosites du capteur et les pixels de l’image en comparant les résolutions du capteur et de l’image selon les réglages de l’appareil.
Métadonnées EXIF
Retrouver les métadonnées d’une photographie.
Traitement d’image
Traiter par programme une image pour la transformer en agissant sur les trois composantes de ses pixels.
Rôle des algorithmes dans les appareils photo numériques
Expliciter des algorithmes associés à la prise de vue. Identifier les étapes de la construction de l’image finale.
Vous trouverez l’ensemble du programme en cliquant ici.
Une image numérique est une image stockée sur un ordinateur. Il a été numérisé, ce qui signifie qu’il a été changé en une séquence de nombres que les ordinateurs peuvent comprendre.
Il y a plusieurs façons de faire une image numérique. Vous pouvez en créer un dans un logiciel de conception (comme Paint ou Photoshop), en prendre un sur un appareil photo numérique ou en numériser un en utilisant un scanner.
Qu’est-ce qu’un pixel ?
Un “pixel” (abréviation d’élément d’image’) est un minuscule carré de couleur. L’ensemble de ces pixels peuvent former une image numérique.
Chaque pixel a un nombre spécifique et ce nombre indique à l’ordinateur de quelle couleur il doit être. Le processus de numérisation prend une image et la transforme en un ensemble de pixels.
Regardons la situation dans son ensemble
Imaginez la photo d’un poisson. Placez une grille carrée dessus.
Chacun des carrés est un pixel. Pour stocker l’image, l’ordinateur enregistre simplement un nombre pour représenter la couleur de chaque carré. Plus il y a de carrés dans la grille, plus les images seront belles.
Il fonctionne un peu comme une couleur numérique par chiffres.
Comment les pixels constituent-ils un affichage ?
Si vous regardez attentivement l’écran de votre ordinateur, vous verrez que l’écran est composé de millions de petits carrés.
Chacun de ces carrés est un pixel et chaque pixel peut être de millions de couleurs différentes.
Pour afficher une image, l’ordinateur demande à l’écran d’afficher une couleur particulière pour chacun des pixels.
Il fonctionne un peu comme une couleur numérique par chiffres.
Qu’est-ce qu’un bitmap ?
Un bitmap est une méthode de stockage d’images en pixels. On l’appelle bitmap parce qu’il s’agit d’une “carte” de l’endroit où les “bits” d’information sont stockés.
Ces informations sont stockées sous la forme d’une séquence de nombres définissant la couleur de chaque pixel.
Dans une image simple en noir et blanc, une image bitmap a juste besoin de savoir si un pixel est “activé” ou “désactivé”, qui peut être stocké comme 1 ou 0. Dans une image couleur nous avons besoin de beaucoup de “bits” (généralement 24) pour stocker les valeurs de couleur de chaque pixel.
Bitmap est également le nom d’un format de fichier commun pour l’enregistrement des images.
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Différents types d’images
Images en pixels
Les images peuvent être enregistrées dans un certain nombre de formats, tels que JPEG, TIFF, PNG et GIF. Ces formats utilisent tous des pixels d’une manière ou d’une autre pour stocker l’image.
Graphiques vectoriels
Toutes les images n’utilisent pas des pixels. Les graphiques ‘vectoriels’ sont composés de lignes, de courbes et de formes au lieu de pixels. Chaque partie d’un graphique vectoriel est modifiable et peut être redimensionnée très facilement.
Les graphiques vectoriels sont parfaits pour créer des diagrammes ou des graphiques. Ils ne peuvent normalement pas être utilisés pour stocker des images photographiques.
Compression d’images
Il est possible de ‘compresser’ une image pour réduire sa taille de fichier. Si une image a une taille de fichier plus petite, elle prendra moins de place sur votre ordinateur.
Il existe deux types de compression, sans perte et avec perte.
Compression sans perte
La compression sans perte fonctionne en ré-écrivant les données pour qu’elles soient stockées plus efficacement. La qualité du fichier restera la même.
Compression avec perte
La compression avec perte fonctionne en supprimant certaines données. La qualité du fichier sera réduite.
Extrait du programme de SNT
Cet article peut être un élement de cours sur la photographie numérique du programme d’enseignement commun en seconde de SNT – Sciences numériques et technologie
Contenus
Capacités attendues
Photosites, pixels, résolution (du capteur, de l’image), profondeur de couleur
Distinguer les photosites du capteur et les pixels de l’image en comparant les résolutions du capteur et de l’image selon les réglages de l’appareil.
Métadonnées EXIF
Retrouver les métadonnées d’une photographie.
Traitement d’image
Traiter par programme une image pour la transformer en agissant sur les trois composantes de ses pixels.
Rôle des algorithmes dans les appareils photo numériques
Expliciter des algorithmes associés à la prise de vue. Identifier les étapes de la construction de l’image finale.
Vous trouverez l’ensemble du programme en cliquant ici.
Les trolls de Poutine (et de Steve Bannon ?) à la manoeuvre
Dans mes chroniques de la semaine dernière, je vous ai mis en garde contre une probable interférence d’une ou plusieurs puissances étrangères dans la grave crise que nous traversons.
Des campagnes de désinformation, visant à hystériser le débat.
Je n’avais d’autres preuves que d’avoir été moi-même confronté, sur les réseaux sociaux, à des comptes suspects. De ces comptes anonymes, souvent illustrés d’images violentes, relayant des fake news, éructant et menaçant leurs contradicteurs, dont l’œil exercé perçoit qu’ils travaillent en meute et suivent les ordres du jour d’un chef d’orchestre clandestin…..
…De telles cyber-attaques ont été observées durant les campagnes électorales récentes, dans plusieurs pays démocratiques. Les dirigeants de Twitter, Facebook et Google ont dû répondre de leur laxisme ….
Les périphériques sont des dispositifs qui ne sont pas l’architecture centrale de l’ordinateur et qui sont impliqués dans la mémoire et le traitement. Les périphériques comprennent le matériel d’entrée, le matériel de sortie et les périphériques de stockage.
Un ordinateur de bureau typique pourrait comprendre :
entrées – souris, clavier, webcam, contrôleur de jeux
Les périphériques se connectent au matériel du processeur via la carte mère. Les périphériques externes se connectent à la carte mère via USB, FireWire ou via une connexion sans fil telle que Bluetooth.
Les moniteurs se connectent normalement par des câbles HDMI ou VGA.
Les ports GPIO sont des ports d’entrée et de sortie génériques qui peuvent être contrôlés directement par logiciel. Ils sont utilisés sur les circuits imprimés des ordinateurs comme le Raspberry Pi et l’Arduino. Ils fournissent des connexions de bas niveau qui peuvent être connectées à des interrupteurs, des lumières LED ou des relais électriques. Ils peuvent être utilisés dans des programmes pour contrôler des systèmes tels qu’une alarme antivol ou un système de chauffage central. Les smartphones, les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables n’ont pas de GPIO.
Il peut être facile de créer votre propre périphérique de base à l’aide d’un Raspberry Pi, Arduino ou tout autre appareil informatique simple.
La Terre est entourée de satellites de navigation.
Les humains se sont tournés vers le ciel pour trouver leur chemin depuis l’antiquité. Les anciens marins utilisaient les constellations du ciel nocturne pour savoir où ils se trouvaient et où ils allaient.
Aujourd’hui, tout ce dont nous avons besoin, c’est d’un simple récepteur GPS portable (abréviation de Global Positioning System) pour savoir exactement où nous sommes dans le monde. Mais nous avons encore besoin d’objets haut dans le ciel pour savoir où nous sommes et comment nous nous rendons ailleurs.
Au lieu d’étoiles, nous utilisons des satellites. Plus de 30 satellites de navigation tournent autour de la Terre. Ces satellites peuvent nous dire exactement où nous sommes.
Qu’est-ce que le GPS ?
Le GPS est un système. Il se compose de trois parties : les satellites, les stations terrestres et les récepteurs.
Les satellites agissent comme les étoiles dans les constellations – nous savons où ils sont censés être à tout moment.
Les stations au sol utilisent des radars pour s’assurer qu’elles sont bien là où nous pensons qu’elles sont.
Un récepteur, comme celui que vous pouvez trouver dans votre téléphone ou dans la voiture de vos parents, est constamment à l’écoute d’un signal provenant de ces satellites. Le récepteur détermine la distance qui les sépare de certains d’entre eux.
Une fois que le récepteur calcule sa distance par rapport à quatre satellites ou plus, il sait exactement où vous vous trouvez. A des kilomètres dans l’espace, votre position au sol peut être déterminée avec une précision incroyable ! Ils peuvent généralement déterminer où vous vous trouvez à quelques mètres de votre emplacement réel. D’autres récepteurs de haute technologie, cependant, peuvent savoir où vous en êtes à quelques centimètres près !
Les anciens marins de l’histoire seraient stupéfaits de la rapidité et de la facilité avec lesquelles on peut localiser votre position aujourd’hui.