Python pour la carte micro:bit: SNT Lycées. Mathématiques. Sciences

Python pour la carte micro:bit: SNT Lycées. Mathématiques. Sciences

Deux fois plus petite qu’une carte de crédit et coûtant moins de 20€, la carte micro:bit est un nano-ordinateur lancé en 2016 au Royaume- Uni par la BBC pour initier les collégiens au codage et au pilotage de systèmes numériques. Pouvant être programmée depuis un PC, un smartphone, une tablette ou encore un Raspberry Pi, cette carte est compacte, robuste, simple d’utilisation, facile à connecter, fédérant une communauté très importante et s’accompagnant d’un grand nombre d’extensions. Pour la piloter, plusieurs langages de programmation sont disponibles : Python, JavaScript, MakeCode…

Cet ouvrage se concentre sur la programmation de la carte micro:bit avec Python, le langage officiel pour l’enseignement de l’informatique au lycée. Ne nécessitant aucune compétence particulière en codage, il est organisé en trois parties. La première pose les bases du langage Python (variables, boucles, fonctions…), la deuxième regroupe différentes applications concrètes et facilement réalisables avec la carte micro:bit, et la troisième présente des projets plus complexes faisant appel aux extensions de la carte. Le lecteur sera ainsi amené à fabriquer un chronomètre, une boussole, ou encore à jouer de la musique.

À qui s’adresse ce livre ?

  • Aux enseignants (SNT, mathématiques, sciences) et à leurs élèves de lycée
  • Aux makers, geeks, roboticiens, FabLabs…

Python pour la carte micro:bit: SNT Lycées. Mathématiques. Sciences

Python pour la carte micro:bit: SNT Lycées. Mathématiques. Sciences

Deux fois plus petite qu’une carte de crédit et coûtant moins de 20€, la carte micro:bit est un nano-ordinateur lancé en 2016 au Royaume- Uni par la BBC pour initier les collégiens au codage et au pilotage de systèmes numériques. Pouvant être programmée depuis un PC, un smartphone, une tablette ou encore un Raspberry Pi, cette carte est compacte, robuste, simple d’utilisation, facile à connecter, fédérant une communauté très importante et s’accompagnant d’un grand nombre d’extensions. Pour la piloter, plusieurs langages de programmation sont disponibles : Python, JavaScript, MakeCode…

Cet ouvrage se concentre sur la programmation de la carte micro:bit avec Python, le langage officiel pour l’enseignement de l’informatique au lycée. Ne nécessitant aucune compétence particulière en codage, il est organisé en trois parties. La première pose les bases du langage Python (variables, boucles, fonctions…), la deuxième regroupe différentes applications concrètes et facilement réalisables avec la carte micro:bit, et la troisième présente des projets plus complexes faisant appel aux extensions de la carte. Le lecteur sera ainsi amené à fabriquer un chronomètre, une boussole, ou encore à jouer de la musique.

À qui s’adresse ce livre ?

  • Aux enseignants (SNT, mathématiques, sciences) et à leurs élèves de lycée
  • Aux makers, geeks, roboticiens, FabLabs…

Impact du développement des objets connectés sur la réparation, les compétenc… – ADEME

Les enjeux environnementaux (exploitation accrue des matières premières et surproduction de déchets) sont importants dans la mesure où beaucoup de produits connectés seront difficilement réparés si les métiers de la réparation et les compétences ne s’adaptent pas à cette révolution numérique.
Cette première étude française sur les pratiques de réparation des biens de consommation courante par l’utilisation de l’impression 3D et dans les espaces de fabrication numérique permet d’apporter des éléments de réponse sur la capacité de ces nouvelles technologies et nouveaux lieux à développer les pratiques actuelles de réparation. Les travaux permettent également d’identifier les données manquantes pour conclure sur les bénéfices environnementaux de cette technologie et les risques sanitaires associés, de proposer des modèles d’organisation pour favoriser le développement de la réparation par l’utilisation de ces technologies et lieux, ainsi que d’établir des pistes d’actions pour pousser la mise en place de ces modèles.”

Cette étude exploratoire vise à anticiper, à l’horizon 2020, les impacts du développement des objets connectés sur les emplois de service et de maintenance de 6 familles de produits :

  • Électroménager,
  • Électronique grand public,
  • Informatique Télécommunication,
  • Santé/Bien-être,
  • Domotique,
  • Chauffage.
Cette étude répond à ces questions.
  • Quelles vont être les conséquences de cette généralisation de la connectivité sur la fiabilité des produits et des services y afférents ?
  • Va -t-on vers davantage de pannes ?
  • Va-t-on vers de nouvelles procédures de résolution des dysfonctionnements ?
  • Qui répondra aux sollicitations ?
  • Qui procédera aux différentes interventions curatives ?
  • Les professionnels sont -ils compétents et formés afin de prendre en charge ces différentes modalités ? Si non, quels sont les cursus à mettre en place ?

Source : Impact du développement des objets connectés sur la réparation, les compétenc… – ADEME

Présentation des périphériques

Les périphériques sont des dispositifs qui ne sont pas l’architecture centrale de l’ordinateur et qui sont impliqués dans la mémoire et le traitement. Les périphériques comprennent le matériel d’entrée, le matériel de sortie et les périphériques de stockage.

Un ordinateur de bureau typique pourrait comprendre :

  •    entrées – souris, clavier, webcam, contrôleur de jeux
  •    sorties – écran, imprimante, haut-parleurs, casque écouteur
  •    stockage – disque dur

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est SNT-Objet-connecté-02-1.jpg.

Connexions

Les périphériques se connectent au matériel du processeur via la carte mère. Les périphériques externes se connectent à la carte mère via USB, FireWire ou via une connexion sans fil telle que Bluetooth.

Les moniteurs se connectent normalement par des câbles HDMI ou VGA.

Les ports GPIO sont des ports d’entrée et de sortie génériques qui peuvent être contrôlés directement par logiciel. Ils sont utilisés sur les circuits imprimés des ordinateurs comme le Raspberry Pi et l’Arduino. Ils fournissent des connexions de bas niveau qui peuvent être connectées à des interrupteurs, des lumières LED ou des relais électriques. Ils peuvent être utilisés dans des programmes pour contrôler des systèmes tels qu’une alarme antivol ou un système de chauffage central. Les smartphones, les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables n’ont pas de GPIO.

Il peut être facile de créer votre propre périphérique de base à l’aide d’un Raspberry Pi, Arduino ou tout autre appareil informatique simple.

Objets connectés : quels impacts ? 3/5

Cliquez sur l’image pour voir la vidéo.

Equipements pour la maison, outils pour le bien-être et la santé ou simple gadget ?

L’objet connecté est un objet auquel l’ajout d’une connexion Internet apporte une valeur supplémentaire en termes de fonctionnalité, d’information et d’interaction avec les usages. Apparus sur le marché, il y a une petite dizaine d’années, ces derniers ne cessent d’augmenter : 4 milliards en 2010 contre 15 milliards en 2016. Un  véritable phénomène qui ne compte pas s’arrêter là. D’ici 2020, chaque personne détiendra environ 6 objets connectés…Ce développement induit également de nombreux changements : notamment sur le marché de la réparation. En effet, grâce à l’augmentation de la connexion des produits, il est possible d’intervenir avant que la panne ne se déclenche ! Les capteurs et applications intégrés dans l’électroménager, par exemple, peuvent indiquer qu’il va falloir le réparer, ou même vous informer des améliorations à apporter ou des ajustements d’utilisation à faire pour maintenir vos produits en bon état et ainsi anticiper de potentiels dysfonctionnements. Par exemple, si vous mettez trop de lessive dans votre lave- linge (ce qui est susceptible d’entrainer une panne), votre appareil est en mesure de vous le dire !

L’autre “révolution” concerne la réparation à distance ! Avec le “tout électronique”, les réparateurs n’auront plus forcément besoin de se déplacer. Certaines pannes pourront se résoudre via les hotline pour tout ce qui est diagnostics, voire réparations à distance, le tout grâce à la connectivité. A ce titre, les métiers de la réparation vont évoluer, se décloisonner. Les activités traditionnelles vont se combiner à de nouveaux profils avec de nouveaux métiers et une compétence élargie.

Jusqu’à aujourd’hui, un professionnel seul peut connaître tout d’un produit. On va voir davantage se développer un collectif de réparateurs en interaction permanente avec tout un écosystème et un environnement.

Source : Objets connectés : quels impacts ? avec l’ADEME | Institut national de la consommation

Impact du développement des objets connectés sur la réparation, les compétenc… – ADEME

Les enjeux environnementaux (exploitation accrue des matières premières et surproduction de déchets) sont importants dans la mesure où beaucoup de produits connectés seront difficilement réparés si les métiers de la réparation et les compétences ne s’adaptent pas à cette révolution numérique.
Cette première étude française sur les pratiques de réparation des biens de consommation courante par l’utilisation de l’impression 3D et dans les espaces de fabrication numérique permet d’apporter des éléments de réponse sur la capacité de ces nouvelles technologies et nouveaux lieux à développer les pratiques actuelles de réparation. Les travaux permettent également d’identifier les données manquantes pour conclure sur les bénéfices environnementaux de cette technologie et les risques sanitaires associés, de proposer des modèles d’organisation pour favoriser le développement de la réparation par l’utilisation de ces technologies et lieux, ainsi que d’établir des pistes d’actions pour pousser la mise en place de ces modèles.”

Cette étude exploratoire vise à anticiper, à l’horizon 2020, les impacts du développement des objets connectés sur les emplois de service et de maintenance de 6 familles de produits :

  • Électroménager,
  • Électronique grand public,
  • Informatique Télécommunication,
  • Santé/Bien-être,
  • Domotique,
  • Chauffage.
Cette étude répond à ces questions.
  • Quelles vont être les conséquences de cette généralisation de la connectivité sur la fiabilité des produits et des services y afférents ?
  • Va -t-on vers davantage de pannes ?
  • Va-t-on vers de nouvelles procédures de résolution des dysfonctionnements ?
  • Qui répondra aux sollicitations ?
  • Qui procédera aux différentes interventions curatives ?
  • Les professionnels sont -ils compétents et formés afin de prendre en charge ces différentes modalités ? Si non, quels sont les cursus à mettre en place ?

Source : Impact du développement des objets connectés sur la réparation, les compétenc… – ADEME

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