Les réseaux sociaux doivent-ils être mieux contrôlés ?

Les réseaux sociaux ne sont pas à l’origine des émeutes urbaines. Mais, pendant quatre nuits, les émeutiers ont pu communiquer et se sont donné rendez-vous grâce à Messenger, Twitter ou encore Instagram. Particulièrement pointée du doigt, la “carte Snap” sur Snapchat — affichant en temps réel la position de ses amis — permet aussi de connaître facilement les lieux qui concentrent les vidéos de dégradations et d’affrontements avec les forces de l’ordre. Emmanuel Macron a déclaré vendredi attendre un “esprit de responsabilité” des grandes plateformes, où s’organisent “des rassemblements violents” et qui suscitent aussi “une forme de mimétisme de la violence. Accusés d’être des amplificateurs de crise, le contrôle des réseaux sociaux doit-il être accru ? Doivent-ils être fermés momentanément en cas de crise aiguë ? Nos invités en débattent.

Les réseaux sociaux sont devenus un outil incontournable de communication et d’information. Ils permettent aux gens de se connecter entre eux, de partager des informations et des idées, et de s’organiser pour des actions collectives. Cependant, les réseaux sociaux sont également utilisés pour diffuser de fausses informations, pour propager la haine et pour organiser des émeutes.

Les émeutes qui ont eu lieu en France fin juin 2023 ont été largement alimentées par les réseaux sociaux. Les émeutiers ont utilisé les réseaux sociaux pour organiser leurs actions, pour diffuser de fausses informations et pour appeler à la violence.

Dans cet article, nous allons analyser l’émission de TV 28 minutes du 4 juillet 2023, qui s’interroge sur le contrôle des réseaux sociaux. Nous allons voir comment l’émission aborde la problématique du rôle des réseaux sociaux dans les émeutes, et nous allons proposer une réponse argumentée à la question de savoir si les réseaux sociaux doivent être mieux contrôlés.

Dans cet article, nous allons aborder les points suivants :

Une description de l’émission 28 minutes du 4 juillet 2023, avec une présentation des invités, du thème et des questions abordées ;
L’identification de la problématique de l’émission, qui est de savoir si les réseaux sociaux doivent être mieux contrôlés ;
Le choix d’une question et d’une position à défendre ;
L’identification des arguments et des extraits de l’émission qui vont soutenir notre position ;
L’organisation et la structuration des raisons et des objections de notre position ;
La rédaction d’un texte d’une réponse à la question.

L’utilisation de ChatGPT dans l’analyse de contenus vidéo offre donc de nombreux avantages tant pour les professeurs que pour les élèves. Elle permet de gagner du temps dans la préparation, d’obtenir une meilleure compréhension des sujets traités et d’accéder à des ressources pertinentes pour construire des arguments solides. Cette technologie constitue un outil puissant pour améliorer la qualité de l’enseignement et de la préparation à l’épreuve du Grand Oral, en favorisant une approche plus interactive, efficace et adaptée aux besoins des élèves.

Description de l’émission, du thème

L’émission 28 minutes sur Arte, du 4 juillet 2023 s’interroge sur le contrôle des réseaux sociaux. L’émission commence par un reportage sur les émeutes qui ont eu lieu en France fin juin 2023. Les émeutes ont été largement alimentées par les réseaux sociaux, et l’émission montre comment les émeutiers ont utilisé les réseaux sociaux pour organiser leurs actions, diffuser de fausses informations et appeler à la violence.

Identifier la problématique de l’émission

Lors de cette première étape, nous utilisons la transcription de l’émission de TV comme données d’entrée. Notre objectif est d’identifier la problématique principale de l’émission, c’est-à-dire le sujet central qui sera abordé. En analysant le contenu de la transcription, nous pouvons extraire les questions clés qui sont posées ou les thèmes dominants qui sont discutés. Ces éléments constitueront les données de sortie de cette étape, c’est-à-dire la problématique ou les questions spécifiques de l’émission.

Choisir le question et une position

Dans cette étape, nous utilisons la problématique ou les questions identifiées précédemment comme données d’entrée. Notre objectif est de sélectionner une question spécifique à laquelle nous souhaitons répondre. Nous examinons les différentes questions proposées et choisissons celle qui nous intéresse le plus ou qui suscite le plus d’intérêt parmi notre public cible. Une fois que nous avons sélectionné la question, nous prenons une position claire et définie par rapport à celle-ci.

Pour cette article j’ai choisi comme question: Faut-il réguler davantage les réseaux sociaux? et comme position: il faut réguler davantage les réseaux sociaux.

Pour aller plus loin

Identifier les arguments, et les extraits

Dans cette étape, nous utilisons la transcription de l’émission de TV, la question choisie et notre position comme données d’entrée. Notre objectif est d’identifier les arguments pertinents qui soutiennent notre position. Nous parcourons la transcription et repérons les extraits de texte qui appuient nos idées. Pour chaque argument identifié, nous enregistrons son numéro, l’argument lui-même, l’extrait de la transcription correspondant et son horodatage dans un tableau de synthèse des arguments.

Organiser et structurer les raisons et les objections de sa position

Dans cette étape, nous utilisons le tableau contenant les arguments identifiés précédemment comme données d’entrée. Notre objectif est d’organiser et de structurer ces arguments de manière logique et cohérente. Nous examinons chaque argument, évaluons sa pertinence et sa force, et décidons de l’ordre dans lequel nous les présenterons dans notre réponse argumentée. Nous créons ainsi une structure claire pour notre réponse, en fournissant une introduction, un développement de l’argumentaire et une conclusion.

Rédiger le texte d’une réponse à la question

Dans cette dernière étape, nous utilisons la structure d’une réponse argumentée comme données d’entrée. Notre objectif est de rédiger le texte complet de notre réponse à la question choisie. Nous suivons la structure préalablement définie en rédigeant une introduction percutante, en développant chaque argument de manière détaillée et en fournissant des preuves ou des exemples tirés de la transcription. Enfin, nous concluons notre réponse en récapitulant nos arguments principaux et en offrant une perspective globale sur la question. Le résultat est un texte d’une réponse argumentée, prêt à être partagé et utilisé dans le cadre de l’épreuve du Grand Oral du baccalauréat.

Conclusion

L’intégration de ChatGPT dans la préparation au Grand Oral du baccalauréat représente une avancée significative dans le domaine de l’éducation. En exploitant cette technologie, les professeurs et les élèves peuvent bénéficier d’une analyse plus efficace des contenus vidéo, d’une compréhension approfondie des sujets abordés et de ressources pertinentes pour construire des arguments solides. L’utilisation de ChatGPT favorise une préparation interactive, adaptée aux besoins des étudiants et contribue ainsi à l’amélioration de la qualité de l’enseignement. En embrassant ces nouvelles technologies, les professeurs et les élèves peuvent se préparer de manière optimale à l’épreuve du Grand Oral et relever les défis avec confiance et assurance.