Objets connectés : comment garder le contrôle de ses données ?

Téléphone, brosse à dents, montre ou encore compteur communicant… Les objets connectés se développent à vitesse grand V dans tous les domaines, avec quelques secteurs encore plus porteurs comme la domotique, la santé et le bien-être. Quoiqu’il en soit, leur promesse est toujours plus ou moins la même : nous simplifier la vie !

C’est sans doute pour cela qu’ils sont si attirants !
 

Pour preuve : aujourd’hui, rentrer chez soi et trouver sa maison allumée et à bonne température, tout en faisant des économies d’énergie n’est pas incompatible grâce à certains objets connectés qui vous permettent de tout programmer à distance.

Mais si l’aspect « pratique » n’est plus à prouver, il ne faut néanmoins pas oublier que ces objets sont reliés à Internet, capables de communiquer avec d’autres systèmes pour obtenir ou fournir de l’information.

A ce titre, ils sont donc conçus pour collecter et réutiliser des données… et pas n’importe lesquelles : des données souvent très personnelles. C’est pourquoi, il est important d’en avoir conscience et d’essayer autant que possible de maitriser leur utilisation.

Pour cela, vous pouvez déjà commencer :

  • par bien lire la notice d’utilisation des objets que vous achetez, en étant particulièrement attentif aux paramétrages par défaut. N’hésitez pas à vous faire conseiller par un vendeur si vous avez un doute ou une question ;
  • il est important également que vous puissiez garder un degré de contrôle.  Vérifiez les informations quand à la finalité de la collecte, mais aussi sur le ou les destinataires des données, sur ce qu’il en est de leur stockage en regardant, par exemple la rubrique “données personnelles” et également la durée pendant laquelle ces dernières sont stockées. Il faut savoir qu’elles doivent être “purgées” au bout d’une durée raisonnable.

Source: Vidéo : Objets connectés : comment garder le contrôle de ses données ?

Impact du développement des objets connectés sur la réparation, les compétenc… – ADEME

Les enjeux environnementaux (exploitation accrue des matières premières et surproduction de déchets) sont importants dans la mesure où beaucoup de produits connectés seront difficilement réparés si les métiers de la réparation et les compétences ne s’adaptent pas à cette révolution numérique.
Cette première étude française sur les pratiques de réparation des biens de consommation courante par l’utilisation de l’impression 3D et dans les espaces de fabrication numérique permet d’apporter des éléments de réponse sur la capacité de ces nouvelles technologies et nouveaux lieux à développer les pratiques actuelles de réparation. Les travaux permettent également d’identifier les données manquantes pour conclure sur les bénéfices environnementaux de cette technologie et les risques sanitaires associés, de proposer des modèles d’organisation pour favoriser le développement de la réparation par l’utilisation de ces technologies et lieux, ainsi que d’établir des pistes d’actions pour pousser la mise en place de ces modèles.”

Cette étude exploratoire vise à anticiper, à l’horizon 2020, les impacts du développement des objets connectés sur les emplois de service et de maintenance de 6 familles de produits :

  • Électroménager,
  • Électronique grand public,
  • Informatique Télécommunication,
  • Santé/Bien-être,
  • Domotique,
  • Chauffage.
Cette étude répond à ces questions.
  • Quelles vont être les conséquences de cette généralisation de la connectivité sur la fiabilité des produits et des services y afférents ?
  • Va -t-on vers davantage de pannes ?
  • Va-t-on vers de nouvelles procédures de résolution des dysfonctionnements ?
  • Qui répondra aux sollicitations ?
  • Qui procédera aux différentes interventions curatives ?
  • Les professionnels sont -ils compétents et formés afin de prendre en charge ces différentes modalités ? Si non, quels sont les cursus à mettre en place ?

Source : Impact du développement des objets connectés sur la réparation, les compétenc… – ADEME

Intelligence du smartphone

En quinze ans le smartphone est devenu un objet technologique indispensable pour plus de cinq milliards d’habitant de la planète. Mais qu’est vraiment qu’un smartphone ? A quoi ça sert ? L’anthropologue Nicolas Nova a mené l’enquête. Il est rejoint en seconde partie par la designer Léa Abaroa.

Le smartphone comme cocon
Le smartphone comme cocon Crédits : Nicolas Nova

L’an dernier 5 milliards 280 millions d’habitants de la planète possédaient un smartphone. Non pas un simple téléphone mobile mais un smartphone. Jamais aucun objet technique ne s’était diffusé aussi massivement et rapidement, en l’espèce en moins de quinze ans. Mais qu’est-ce au juste qu’un smartphone ? Pour répondre à la question, l’anthropologue a eu l’excellente idée de fuir toute définition préalable préférant mener l’enquête, ethnographique et par entretien, auprès d’utilisateurs à travers le monde. Ce mode d’approche lui a permis de saisir l’objet au-delà de sa matérialité et à travers ses usages multiples et singuliers, et très souvent renouvelés. De souligner surtout son caractère d’objet social total comme Marcel Mauss parlait de fait social total. Nicolas Nova est aujourd’hui l’invité de La Suite dans les Idées.

Parce que le smartphone est sans doute aujourd’hui l’objet du design par excellence, non pas seulement le design au sens étroit de la conception matérielle de l’objet, de son apparence mais plus encore le design d’interface qui fait de cet objet un mode d’être au monde, il m’a semblé évident d’inviter une designer : Léa Abaroa nous rejoindra en seconde partie.

En quinze ans le smartphone est devenu un objet technologique indispensable pour plus de cinq milliards d’habitant de la planète. Mais qu’est vraiment qu’un smartphone ? A quoi ça sert ? L’anthropologue Nicolas Nova a mené l’enquête. Il est rejoint en seconde partie par la designer Léa Abaroa. Le smartphone comme cocon Le smartphone comme cocon• Crédits : Nicolas Nova L’an dernier 5 milliards 280 millions d’habitants de la planète possédaient un smartphone. Non pas un simple téléphone mobile mais un sms.

Source : Intelligence du smartphone

Le progrès contre l’environnement – Ép. 1/3 – 5G, technologie à haut débat

Les enchères pour l’attribution des premières fréquences 5G sont lancées. L’augmentation du trafic de données qui en découlera pose une question de cohérence, à un moment où la réduction de la consommation énergétique est posée comme un objectif.

Une antenne 5G à Berlin. Certains commentateurs écologistes craignent que l'infrastructure liée à la 5G ait un impact écologique important, en plus de la pollution numérique.
Une antenne 5G à Berlin. Certains commentateurs écologistes craignent que l’infrastructure liée à la 5G ait un impact écologique important, en plus de la pollution numérique. Crédits : Picture allianceGetty

Premier jour de notre nouvelle série consacrée à une technologie aussi convoitée que controversée : la 5G. Les enchères s’ouvrent ce mardi pour les opérateurs téléphoniques français qui pourront acquérir des fréquences et proposer les premiers services d’ici à la fin de l’année. Un coup d’envoi qui relance le débat entre partisans de la sobriété numérique et promoteurs du progrès technologique, entre « amish » et « innovateurs », pour reprendre les termes d’Emmanuel Macron.

En effet, certains personnes s’inquiètent de la pollution numérique qui pourrait être engendrée par l’augmentation de la circulation des données. Et pour cause : la pollution engendrée par le fonctionnement d’Internet serait responsable de 4% des émissions de gaz à effet de serre aujourd’hui, selon l’Ademe et pourrait s’élever à 7% en 2040 si rien n’est fait, d’après un récent rapport du Sénat. En guise de comparaison, à l’échelle planétaire, l’empreinte environnementale du numérique équivaut à un continent de 2 à 3 fois la taille de la France et à 5 fois le poids du parc automobile français.

Peut-on déployer la 5G sans compromettre la transition écologique ? Pour répondre à nos questions, nous discutons avec Céline Lescop, responsable du programme informatique durable chez Axa membre du groupe de travail sur la sobriété du numérique du Shift Project et Guillaume Mandil, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes qui travaille au laboratoire G-SCOP et dans l’équipe STEEP à l’INRIA sur l’évaluation des impacts environnementaux des technologies et les pistes d’éco-conception pour les réduire.

Les enchères pour l’attribution des premières fréquences 5G sont lancées. L’augmentation du trafic de données qui en découlera pose une question de cohérence, à un moment où la réduction de la consommation énergétique est posée comme un objectif. Une antenne 5G à Berlin. Certains commentateurs écologistes craignent que l’infrastructure liée à la 5G ait un impact écologique important, en plus de la pollution numérique. Une antenne 5G à Berlin.

Source : Le progrès contre l’environnement – Ép. 1/3 – 5G, technologie à haut débat

La 5G, c’est demain

Quels débats sont encore soulevés par la 5G ?

Révolution ou innovation superflue ? Energivore, dangereuse pour la santé, ou nécessaire à l’amélioration des services publics ? Passage en revue des débats que soulève cette nouvelle technologie. Quels débats sont encore soulevés par la 5G ? Quels débats sont encore soulevés par la 5G ?

Initialement prévues en avril, les enchères débuteront ce 29 septembre. Les opérateurs télécoms vont ainsi se lancer dans la course à l’acquisition de fréquences 5G.

Source : La 5G, c’est demain

Les objets connectés nous espionnent-ils ?

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Nos objets connectés sont-ils un danger pour notre sécurité ? C’est la question au cœur des Idées Claires, notre programme hebdomadaire produit par France Culture et Franceinfo destiné à lutter contre les désordres de l’information, des fake news aux idées reçues.

Ils sont partout ou presque mais peut-on leur faire confiance ? Les réfrigérateurs intelligents, aspirateurs robots, peluches connectées et autres assistants vocaux envahissent lentement notre foyer. Une révolution qui permet de régler le thermostat de la maison ou d’allumer la lumière du couloir sans bouger de son canapé, mais dont on ne connaît pas encore les conséquences sur le respect de notre vie privée.

Pour les fabricants, le marché de la “smart home” est particulièrement prometteur :  2,9 millions d’objets connectés dédiés à la maison ont été vendus en 2018 en France. Un marché lucratif, mais à quel prix ?

Ces objets connectés à la mode sont-ils complètement sûrs ? Est-ce risqué d’installer un micro en permanence à domicile ? Quels sont les risques d’être espionné par les fabricants ? Un individu malveillant peut-il avoir accès à nos données personnelles ? Ou écouter ce qu’il se passe à l’intérieur de notre maison ?

Vincent Roca, chercheur à l’Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique) répond à nos questions pour nous aider à démêler le vrai du faux sur ces nouvelles technologies.

 

Les objets connectés nous espionnent-ils ? 

Ces acteurs nous espionnent-ils via notre smartphone ?  

Les assistants type Google Home nous écoutent-ils en permanence ?

Mon aspirateur connecté ne délivrent pas beaucoup d’informations sur moi ? 

Doit-on aussi se méfier des peluches connectées ? 

N’importe qui peut avoir accès à mes micros, mes caméras ? 

Les objets connectés sont-ils mauvais pour la planète ?

…..

Source : Les objets connectés nous espionnent-ils ?

Présentation des périphériques

Les périphériques sont des dispositifs qui ne sont pas l’architecture centrale de l’ordinateur et qui sont impliqués dans la mémoire et le traitement. Les périphériques comprennent le matériel d’entrée, le matériel de sortie et les périphériques de stockage.

Un ordinateur de bureau typique pourrait comprendre :

  •    entrées – souris, clavier, webcam, contrôleur de jeux
  •    sorties – écran, imprimante, haut-parleurs, casque écouteur
  •    stockage – disque dur

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est SNT-Objet-connecté-02-1.jpg.

Connexions

Les périphériques se connectent au matériel du processeur via la carte mère. Les périphériques externes se connectent à la carte mère via USB, FireWire ou via une connexion sans fil telle que Bluetooth.

Les moniteurs se connectent normalement par des câbles HDMI ou VGA.

Les ports GPIO sont des ports d’entrée et de sortie génériques qui peuvent être contrôlés directement par logiciel. Ils sont utilisés sur les circuits imprimés des ordinateurs comme le Raspberry Pi et l’Arduino. Ils fournissent des connexions de bas niveau qui peuvent être connectées à des interrupteurs, des lumières LED ou des relais électriques. Ils peuvent être utilisés dans des programmes pour contrôler des systèmes tels qu’une alarme antivol ou un système de chauffage central. Les smartphones, les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables n’ont pas de GPIO.

Il peut être facile de créer votre propre périphérique de base à l’aide d’un Raspberry Pi, Arduino ou tout autre appareil informatique simple.

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