Cet ouvrage présente en 21 fiches de 4 ou 8 pages, les questions fondamentales à connaître sur les adresses IP et les réseaux informatiques. Chaque fiche répond à une question de manière structurée et visuelle à l’aide d’un exemple concret. La résolution détaillée est accompagnée par des conseils méthodologiques.
Cet ouvrage s’adresse aussi bien aux étudiants de bac S Sciences de l’ingénieur, et STI2D (toutes spécialités), mais aussi au BTS, DUT et licence.
Des outils GRATUITS pour vérifier vos calculs
Pour vérifier les résultats de chaque question, le livre vous propose GRATUITEMENT :
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Derrière nos écrans de fumée (The Social Dilemma) , (documentaire sorti sur Netflix le 9 septembre, met en garde contre les dérives de ces algorithmes qui cherchent, avec chaque jour un peu plus d’efficacité, à nous maintenir « engagés » sur Facebook, YouTube, Instagram ou Twitter. Polarisation des débats, bulles de filtres qui nous mettent uniquement en relation avec des gens qui pensent comme nous, addiction, prime à la désinformation, dépression, le documentaire balaye largement les problèmes causés, plus ou moins directement, par « l’algorithmisation » croissante de nos vies.
Les données collectées ne posent pas de problème
Nous brandissons souvent le spectre des données, ces données personnelles que toutes collectent auprès de ces entreprises pour les vendre à un prix plus élevé. Derrière nos écrans de fumée pousse l’analyse beaucoup plus loin. Le problème n’est pas seulement les données, mais le comportement de l’utilisateur. Il est rappelé que si nous ne payons pas pour un produit, alors, c’est que nous sommes le produit. Et si nous constatons une «dérive» de l’usage sur quelques années, c’est parce que cela fait partie intégrante des stratégies de ces entreprises.
Hypocrisie du processus
Un joli paradoxe est Derrière nos écrans de fumée projetés sur Netflix, qui utilise exactement cela pour faire des recommandations aux abonnés. Le comble de la tartuferie apparaît à la fin du documentaire, lorsque le réalisateur invite le public à visiter son site Internet. Parmi les actions recommandées à éviter, les téléspectateurs sont encouragés à faire de la publicité pour des documentaires… sur les réseaux sociaux. On sera sensible à l’ironie, ou l’hypocrisie, du procédé.
Des révélations qui sont à relativiser
Que ce soit la polarisation du débat chez nous sur l’augmentation exponentielle des hospitalisations pour automutilation, ou chez les adolescentes américaines, tout est de la faute des réseaux sociaux? La réalité est un peu plus compliquée et manque de point de référence et de contexte historique.
Réponse de Facebook
Facebook décompose point par point les sept domaines qu’il estime que le film déforme : la soi-disant dépendance aux réseaux sociaux, la présentation des utilisateurs comme étant le produit ultime, la manière dont Facebook déploie ses algorithmes, la collecte de données, la polarisation politique, l’intégrité des élections et la désinformation.
L’apparition de la 5G constitue une révolution technologique. Outre l’augmentation de nos débits de communication, elle inaugure surtout l’ère du “tout-connecté” : appareils électroménagers, hôpitaux, voitures automatisées, “smart cities”. La bataille pour son contrôle s’annonce acharnée entre la Chine et les États-Unis. Au milieu de cet affrontement entre les deux géants, l’Europe fait l’objet de toutes les convoitises.
En quinze ans le smartphone est devenu un objet technologique indispensable pour plus de cinq milliards d’habitant de la planète. Mais qu’est vraiment qu’un smartphone ? A quoi ça sert ? L’anthropologue Nicolas Nova a mené l’enquête. Il est rejoint en seconde partie par la designer Léa Abaroa.
L’an dernier 5 milliards 280 millions d’habitants de la planète possédaient un smartphone. Non pas un simple téléphone mobile mais un smartphone. Jamais aucun objet technique ne s’était diffusé aussi massivement et rapidement, en l’espèce en moins de quinze ans. Mais qu’est-ce au juste qu’un smartphone ? Pour répondre à la question, l’anthropologue a eu l’excellente idée de fuir toute définition préalable préférant mener l’enquête, ethnographique et par entretien, auprès d’utilisateurs à travers le monde. Ce mode d’approche lui a permis de saisir l’objet au-delà de sa matérialité et à travers ses usages multiples et singuliers, et très souvent renouvelés. De souligner surtout son caractère d’objet social total comme Marcel Mauss parlait de fait social total. Nicolas Nova est aujourd’hui l’invité de La Suite dans les Idées.
Parce que le smartphone est sans doute aujourd’hui l’objet du design par excellence, non pas seulement le design au sens étroit de la conception matérielle de l’objet, de son apparence mais plus encore le design d’interface qui fait de cet objet un mode d’être au monde, il m’a semblé évident d’inviter une designer : Léa Abaroa nous rejoindra en seconde partie.
En quinze ans le smartphone est devenu un objet technologique indispensable pour plus de cinq milliards d’habitant de la planète. Mais qu’est vraiment qu’un smartphone ? A quoi ça sert ? L’anthropologue Nicolas Nova a mené l’enquête. Il est rejoint en seconde partie par la designer Léa Abaroa. Le smartphone comme cocon Le smartphone comme cocon• Crédits : Nicolas Nova L’an dernier 5 milliards 280 millions d’habitants de la planète possédaient un smartphone. Non pas un simple téléphone mobile mais un sms.
Retour sur le débat enflammé autour de la 5G alors que l’appel d’offre pour l’octroi des fréquences va débuter demain en France…
Je regrette d’avoir vous dire à quel point j’ai mal vécu l’allusion d’Emmanuel Macron sur les Amish en tant qu’adorateur de la “Petite maison dans la prairie”. En insinuant que les descendants de la famille Ingalls n’était qu’une bande de demeurés tout juste capables de couper des buches et cuisiner des Apple pie avec des bonnets en coton sur la tête, le chef de l’Etat a envoyé un signal méprisant bien au-delà du village de Walnut Grove … Ce sont toutes celles et ceux qui se posent des questions légitimes sur cette nouvelle technologie qui ne se reconnaissent pas dans cette caricature de réac préférant s’éclairer à la lampe à huile.
Alors que les industriels présentent la 5G comme une révolution et un tournant majeur, les citoyens veulent peser à juste titre sur le débat en interrogeant les différents aspects liés à cette innovation
Quelles sont les questions qui se posent ?
Elles sont nombreuses concernant l’aspect sanitaire, les menaces sur les libertés publiques, la consommation énergétique et les impacts écologiques. Et au cœur de toutes ces problématiques, une question centrale : avons nous besoin de la 5G pour vivre mieux ?
Le superfail qui nous intéresse cette semaine concerne la France et sa capacité à innover, ou plutôt à innover jusqu’au bout. Si internet apparaît aujourd’hui largement dominé par les entreprises américaines, il faut tout de même se rappeler qu’à l’origine, le web était une invention française. Michel Delebarre et Martine Aubry devant un minitel en octobre 1991 : apparu en 1980, le minitel s’est imposé dans les foyers français avant d’être progressivement remplacé par les ordinateurs avec accès à internet.
Les enchères pour l’attribution des premières fréquences 5G sont lancées. L’augmentation du trafic de données qui en découlera pose une question de cohérence, à un moment où la réduction de la consommation énergétique est posée comme un objectif.
Premier jour de notre nouvelle série consacrée à une technologie aussi convoitée que controversée : la 5G. Les enchères s’ouvrent ce mardi pour les opérateurs téléphoniques français qui pourront acquérir des fréquences et proposer les premiers services d’ici à la fin de l’année. Un coup d’envoi qui relance le débat entre partisans de la sobriété numérique et promoteurs du progrès technologique, entre « amish » et « innovateurs », pour reprendre les termes d’Emmanuel Macron.
En effet, certains personnes s’inquiètent de la pollution numérique qui pourrait être engendrée par l’augmentation de la circulation des données. Et pour cause : la pollution engendrée par le fonctionnement d’Internet serait responsable de 4% des émissions de gaz à effet de serre aujourd’hui, selon l’Ademe et pourrait s’élever à 7% en 2040 si rien n’est fait, d’après un récent rapport du Sénat. En guise de comparaison, à l’échelle planétaire, l’empreinte environnementale du numérique équivaut à un continent de 2 à 3 fois la taille de la France et à 5 fois le poids du parc automobile français.
Peut-on déployer la 5G sans compromettre la transition écologique ? Pour répondre à nos questions, nous discutons avec Céline Lescop, responsable du programme informatique durable chez Axa membre du groupe de travail sur la sobriété du numérique du Shift Project et Guillaume Mandil, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes qui travaille au laboratoire G-SCOP et dans l’équipe STEEP à l’INRIA sur l’évaluation des impacts environnementaux des technologies et les pistes d’éco-conception pour les réduire.
Les enchères pour l’attribution des premières fréquences 5G sont lancées. L’augmentation du trafic de données qui en découlera pose une question de cohérence, à un moment où la réduction de la consommation énergétique est posée comme un objectif. Une antenne 5G à Berlin. Certains commentateurs écologistes craignent que l’infrastructure liée à la 5G ait un impact écologique important, en plus de la pollution numérique. Une antenne 5G à Berlin.